Le corps de Pharaon épargné...

Publié le 17 Novembre 2007

Le corps de Pharaon épargné… le cadavre de Pharaon de nos jours

                                                 Par : Firas Nour Al-Haq

                                                 Traduit par: Olfa Al Fessi

Dans son œuvre « Le Coran et la science moderne », le docteur Maurice Bucaille[[1]] a dévoilé la coïncidence entre ce qui est mentionné dans le noble Coran à propos du sort du Pharaon (à l’époque de Moïse) après sa noyade dans les flots et la réalité de la conservation de son cadavre jusqu’à nos jours afin d’être un signe pour l’univers. Allah (exalté soit-Il) dit- ce qui peut être traduit comme : « Nous allons aujourd'hui épargner ton corps, afin que tu deviennes un signe à tes successeurs. » (TSC[i], Yoûnous - (JONAS) : 92).

  Le Dr. Bucaille affirme : « La version de la Torah à propos de l’Exode de l’Égypte du peuple juif en compagnie de Moïse (Paix sur lui) certifie incontestablement l’hypothèse selon laquelle Mineptah, le successeur de Ramsès II était le Pharaon d’Égypte à l’époque de Moïse (Paix sur lui). Aussi, les études médicales de la momie de Mineptah nous ont-elles permis d’avoir d’autres informations utiles quant aux causes probables du décès de ce pharaon. La Torah mentionne que le cadavre a été englouti dans la mer, sans dire plus de détails à propos de ce qu’il en est advenu plus tard. Quant au coran, lui, il confirme au verset précédent, que le cadavre de ce maudit pharaon sera repêché des eaux. L’analyse médicale octroyée à cette momie a décelé que ce cadavre n’est pas resté longtemps à l’eau étant donné qu’aucune lésion totale due à la stagnation durable dans l’eau n’a été observée »[[2]].

 Maurice Bucaille a dit ce qui suit : « Les résultats des enquêtes médicales sont venus appuyer l’hypothèse précédente. En 1975, au Caire, une petite lame du tissu musculaire a été prélevée, grâce à l’aide précieuse que le Dr. Michel Durigon a présentée. L’observation microscopique minutieuse témoigne de l’état de conservation totale même aux infimes particules disséquées des muscles, laquelle conservation totale, ne pourrait être concevable si le corps eut resté dans l’eau pendant quelque temps, ou même s’il eut resté longtemps en dehors de l’eau avant de subir les premières opérations d’embaument. Nous avons fait mieux et nous sommes intéressés par la recherche des causes probables de la mort de Pharaon.

Les études médico-légales de la momie ont eu lieu avec l’assistance de Ceccaldi, directeur du laboratoire de l’identité juridique à Paris et le professeur Durigon. Elles nous ont permis d'établir l'existence d'une cause de mort très rapide par plaie cranio-cérébrale ayant laissé une lacune de dimensions importantes au niveau de la voûte crânienne, conjointement avec d'autres lésions traumatiques. Toutefois ces constatations s'avéraient compatibles avec les récits des Écritures mentionnant que le Pharaon mourut lors du retour du flot» [[3]]Le Dr. Bucaille montre en quoi cet aspect est inimitable en annonçant : « A l’époque où le Coran fut révélé aux gens par le biais de Mohamed (Bénédiction et Paix sur lui), les cadavres de tous les pharaons desquels les gens à l’époque moderne ont douté qu’ils étaient en rapport avec l’Exode (doutes justifiés ou non) sont tous inhumés dans les cimetières de la vallée des rois à Thèbes à l’autre rive du Nil, juste en face de l’actuelle ville de Louxor.

 A l’époque de Mohamed (Bénédiction et Paix sur lui), tout était inconnu à ce propos. Ces cadavres ne furent découverts que vers la fin du XIXème siècle [[4]].

 

 Ainsi, le cadavre du Pharaon de Moïse, encore à découvert, constitue un témoignage concret sous forme de corps embaumé ayant connu Moïse (Paix sur lui), renié ses demandes et l’ayant chassé à sa fuite puis mort durant cette poursuite. Allah a conservé son cadavre de la lésion totale pour qu’il devienne un signe pour les  les gens, exactement comme le noble Coran  [5] a mentionné.

 Cette information historique à propos du sort du cadavre de Pharaon n’était en possession d’aucun être humain lors de la révélation du Coran, et même après sa révélation plusieurs siècles durant. Seulement, elle fut mentionnée dans le livre d’Allah il y a de cela 1400 ans auparavant.


[1] Chirurgien français, parmi les plus célèbres des médecins en France. Il a converti à  l’Islam après une étude exhaustive du noble Coran et son inimitabilité scientifique.

[2] « Le Coran et la science moderne », par Dr. Maurice Bucaille.

[3] « Le Coran et la science contemporaine », par Dr. Maurice Bucaille, traduction de Dr. Mohamed Ismaïl Bassal et Dr. Mohamed Khaïr Al-Beqaî.

[4] « L’étude des livres sacrés à la lumière du savoir contemporain » par Dr. Maurice Bucaille, p. 269 ; Dar Al-Maârif, ed.4/1977, avec adaptation

[5] La référence précédente

[i] NdT : TSC : Traduction des Sens du Coran. Cette traduction est celle du sens courant le plus connu jusqu'à présent de la sourate sus mentionnée. Lire la TSC ne remplace nullement sa lecture en arabe, la langue de révélation du saint Coran.

Rédigé par Mouhcine

Publié dans #Sciences et Islam

Commenter cet article
M
SAlam a3likoum ma soeur Najat, je n'ai pas supprimé de partie de ton commentaire. Celui ci devait je pense etre trop long et n'a pas été pris en compte en totalité.Peux tu me faire parvenir de nouveau ton commentaire, si pas possible en un seul, alors en plusieurs partie. BarakAllah o fik.Salam A3likoum
Répondre
N
 c'est la véritée,DIEU le plus puissant a dit :>soyez parmis eux.....
Répondre